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Et il fonctionne bien quand même!
Oui, il fonctionne très bien. À une condition importante, c'est que le câble et sa gaine soient en bonne condition.
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Voici quelques extraits intéressants du numéro d'avril 2001 du magazine français "Le Cycle". J'ai des réserves sur une partie de ce qui est écrit dans cet article ("Mon royaume pour un alu") mais certaines choses restent toujours aussi vraies maintenant.
"L'alu, moins dense donc plus léger, a fait sa première apparition dans les années 1930. À vrai dire, ces cadres soudés manquaient quelque peu de rigidité et de nervosité. Vers le milieu des années '70, Vitus et Alan remirent l'aluminium sur le devant de la scène; cette fois, on eut recours au collage pour assembler les tubes."
"...en doublant la section d'un tube, on multiplie par huit sa rigidité! En agissant de la sorte et en réduisant quelque peu l'épaisseur des tubes, on obtient un gain de légèreté non négligeable tout en augmentant considérablement la rigidité de la structure."
"...l'aluminium actuel voit encore son poids diminuer grâce à des épaisseurs de plus en plus faibles, qui se rapprochent de celle des meilleurs aciers des années '80; on est souvent en dessous du millimètre à l'endroit ou le tube est le plus fin."
Je n'ai pas cité l'article au complet, car beaucoup de choses qui y sont écrites méritent d'être nuancées. C'est d'ailleurs souvent le cas avec ce magazine. Je ne suis pas toujours confortable avec leurs certitudes. Comme dirait Jean Gabin: "Mais bon...".
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J'ai reçu un intéressant courriel d'un lecteur, la semaine dernière. Il y parle entre autres des pianistes qu'il a eu la chance de voir. En voici un extrait:
"- à part Keith Jarrett, Marc-André Hamelin et Pollini, Bill Evans est le meilleur pianiste que j'ai entendu live ....... mais le piano n'aidait pas, contrairement à Keith Jarrett qui exige absolument de jouer sur un Steinway, accordé avant le spectacle, et également à l'entracte, rien de trop beau pour la diva.
Mais disons qu'après l'avoir entendu cet été au FIJM, j'en suis resté sidéré, on a beau ne pas aimer le tempérament caractériel du type, il arrive à faire chanter un piano, comme peu, ce lyrisme incroyable... parfois, il laissait ses deux compères jouer seuls, se levait et allait prendre une gorgée d'eau, mine de rien comme ça,
Malgré que l'audience ait gardé un silence absolu pendant tout le spectacle, un tata a pris une photo des 3 compères quand les trois sont revenus saluer après le show, et Jarrett est revenu nous faire la morale par la suite, en nous disant qu'on était averti de pas prendre de photos, et que pour ça il ne jouerait pas de rappels ... vraiment la grosse tête ce type, à faire c......... rayon gentillesse, on repassera, donc on a raté les rappels dans lesquels souvent il se surpasse ........... j'ai trouvé que c'était d'une mesquinerie incroyable, pour des gens qui avaient payé autour de 100 $ le billet......... je crois qu'il aurait eu droit à un soulier ou deux par la tête ..."
C'est vrai que Keith Jarrett traîne cette réputation derrière lui. Mais c'est également vrai que son lyrisme en a impressionné plus d'un. Je vous en donnerai un exemple en vidéo un de ces quatre. En attendant, une interprétation libre que Jean-Sébastien n'aurait peut-être pas reniée. La chanteuse belge Maurane nous montre que Bach rime avec tout un bric-à-brac de mots inattendus.
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